Les vergetures. On les redoute, on les déteste, on ne voit qu’elles ! Considérées comme de petites imperfections, on cherche le plus souvent à les atténuer ou à les dissimuler. C’est là que le monoï entre en jeu. Son pouvoir hydratant et son parfum d’exotisme en font un indispensable de l’été, que l’on a plaisir à utiliser toute l’année en soin anti-vergetures. Une astuce qui va faire craquer votre peau, dans le bon sens.
Les vergetures, qu’est-ce que c’est ?
On vous rassure tout de suite, les vergetures sont tout à fait normales et touchent près de 80 % des femmes, quel que soit leur âge ou leur morphologie. Et elles n'épargnent pas non plus les hommes. Les vergetures apparaissent sous forme de lignes striées, semblables à de fines cicatrices. Elles sont le résultat d’une déchirure au niveau du derme, affectant l’aspect de la peau. Elles sont d’abord de couleur rouge ou violacée, puis deviennent blanches et plus épaisses avec le temps. Les zones du ventre, des hanches, des cuisses, des seins ou des fesses sont les plus touchées. C’est celles-ci qu’il faut protéger en priorité.
Les principales causes des vergetures
Les vergetures surviennent après un changement physique important. Une prise de poids, une grossesse, de la musculation excessive, la puberté, la prise d’un traitement hormonal, sont autant de facteurs qui peuvent entraîner l’apparition de vergetures. Heureusement, il existe des techniques pour les prévenir, comme l’application d’un de nos produits préférés, l’huile de Monoï !
En prévention de l'apparition des vergetures
Lorsque les vergetures passent d’une couleur rouge à blanche, elles ne peuvent plus disparaître complètement. Elles s’atténuent seulement. D’où l’intérêt d’agir en prévention. Une hydratation quotidienne permet d’éviter leur profusion, particulièrement durant certains moments, comme la grossesse. Car une peau nourrie, c’est une peau qui craque moins facilement.
Un grand nombre d’huiles végétales peuvent être utilisées, telles que l’huile de baobab, l’huile d’amande douce ou l’huile de prune. Mais celle qui reste parmi les plus efficaces nous vient tout droit de Tahiti : c’est l’huile de Monoï ! Vous l’aimez certainement déjà pour son parfum exotique et délicat, complètement addictif, mais vous l’aimerez encore plus pour ses grands pouvoirs hydratants, assouplissants, revitalisants et régénérants sur la peau. Fruit de la macération des fleurs de Tiaré dans l’huile de coco, le monoï est très riche en acides gras, comme l'acide myristique, l’acide palmitique ou l’acide laurique. Le résultat ? Ces actifs maintiennent l’élasticité de la peau et réduisent les risques d’apparition des vergetures. Également riche en vitamines E et K, l’huile de Monoï est un antioxydant naturel puissant et renforce la barrière cutanée de la peau.
Pour utiliser le monoï au quotidien contre les vergetures, rien de plus simple :
- 2 fois par jour, le matin et le soir, appliquez quelques gouttes d’huile de Monoï dans la paume de votre main.
- Massez les zones à risque (fesses, seins, cuisses, hanches) en réalisant des mouvements circulaires pendant quelques minutes, jusqu’à absorption complète du produit.
- Attendez quelques instants avant de vous habiller pour ne pas tacher vos vêtements.
Pour traiter les vergetures déjà installées
Sur les vergetures déjà installées, l’huile de monoï peut aussi aider à les prévenir. En favorisant la régénération cellulaire de la peau, elle lui redonne souplesse et élasticité. Continuez d’en appliquer chaque jour et massez les zones touchées. Elle est aussi très agréable comme huile de massage, alors ne vous en privez pas !
L’astuce en + : En complément d’une utilisation quotidienne du monoï sur les vergetures, vous pouvez réaliser un gommage corporel. Il permet d’éliminer les peaux mortes. L’huile de Monoï peut ainsi mieux pénétrer dans les couches de la peau et être d’autant plus efficace. Le Gommage-en-huile Monoï s’utilise 1 à 2 fois par semaine.
Si on veut souvent les faire disparaître, les vergetures sont 100% normales et ne peuvent pas faire de l’ombre à la belle personne que vous êtes. Et souvenons-nous qu’un corps qui change, c’est surtout un corps qui vit !